Les journées sont longues...
Au début de mon arrêt, je trouvais les journées longues et je me donnais des objectifs à la journée. Je voulais finir tel truc, vérifier cela, commander cela sur internet... Ces objectifs de passer la permière partie de mon arrêt. Mais bon, j'avoue que j'étais obligée d'être dans "l'action" pour ne pas trop réfléchir. Malgré ces objectifs, les journées me paraissaient tout de même longues...
Ensuite, est venue une période pendant laquelle, sans objectifs, j'occupais mes journées sans trop trop de mal. Je prenais le temps qu'il fallait pour faire les choses et j'appréciais ce que je faisais. J'avais cette impression que je faisais un peu avancer les choses. Les journées me paraissaient donc moins longues...
Mais maintenant, je repasse dans une période où je trouve les journées extrémement longues. Je m'ennuie quand même un peu, mais d'un autre côté, je n'ai rien envie de faire.
J'ai des trucs à faire :
- décorer le lustre de la chambre de bébé et l'ensemble de la chambre d'ailleurs,
- faire les faire-parts,
- faire mon repassage,
- laver toutes les affaires de bébé,
- faire de la cuisine pour mon Chéri,
- ...
Et bien, je n'ai envie de rien faire et, paradoxalement, je m'ennuie...
Regarder les replay des émissions débiles commencent à me saouler grave, tricoter ne me plait plus autant (c'est un peu trop toujours la même chose...), commencer les choses que j'ai à faire me semble insurmontable...
Bref, vous avez compris le topo!
Dans ces circonstances, les journées s'étirent et dès 16h, il me tarde que Chéri rentre pour me raconter des choses!
J'espère que je vais repartir d'ici peu dans une dynamique plus positive, parce que franchement, j'aime pas être comme ça, aussi passive et attentiste.
Le week-end me reboostera peut-être!